Vingt ans au service du public pour les Villes de Pincourt et de Notre-Dame-de-l’Île-Perrot
Stéphane Séguin honoré par l’ATPIQ pour l’ensemble de sa carrière

Par Félix Sabourin, Journaliste
L’Association des techniciens en prévention incendie du Québec (ATPIQ) a remis son trophée Fleur de Lys à Stéphane Séguin, directeur adjoint du Service d’urgence et de protection incendie des villes de Pincourt et de Notre-Dame-de-l’Île-Perrot.
La distinction lui a été décernée dans le cadre du souper gala de reconnaissance tenu le jeudi 12 juin, lors du séminaire annuel de perfectionnement de l’association à Trois-Rivières.
Une distinction pour une carrière exemplaire
Le trophée Fleur de Lys souligne une carrière remarquable dans le domaine de la prévention incendie. Selon l’ATPIQ, il met en lumière l’engagement, la rigueur et la passion de professionnelles et professionnels ayant contribué de manière significative à l’avancement de la sécurité incendie au Québec.
Vingt ans d’engagement au service du public
Avec plus de 20 ans d’expérience, Stéphane Séguin s’est démarqué par sa capacité à transmettre ses connaissances, à mobiliser ses collègues et à travailler au service de la protection du public. L’organisation a salué l’ensemble de sa carrière, qualifiée d’exemplaire, ainsi que l’impact positif de son parcours dans le milieu.
Une reconnaissance en fin de parcours
Cette reconnaissance survient à un moment symbolique, alors que M. Séguin prévoit prendre sa retraite à la fin de l’année 2025. L’ATPIQ a souligné le caractère inspirant de son héritage professionnel.
Hommage de la Ville de Pincourt
Le directeur général de la Ville de Pincourt, Me Étienne Bergevin Byette, a salué l’importance de cet hommage.
« L’attribution du trophée Fleur de Lys à Monsieur Stéphane Séguin vient souligner, avec justesse, une carrière marquée par son sens de l’engagement et son professionnalisme. Stéphane a toujours su faire avancer les choses de manière concrète durant sa carrière à la Ville de Pincourt. Ce n’est pas quelqu’un qui cherche les projecteurs, mais ses actions ont parlé d’elles-mêmes, année après année. »
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