Qu’à cela ne tienne, ceci n’est pas un texte ésotérique ! Toujours dans cet esprit de prendre un pas de recul sur nos réflexions communes, j’avais envie de prendre ce chemin de la recherche du bonheur dans un monde en mutation.

Améliorons encore davantage cette réflexion en explorant différentes perspectives sur le bonheur et en examinant les défis auxquels nous pourrions être confrontés dans un monde en constante évolution. Comment pouvons-nous définir le bonheur à l’ère de la technologie et de l’innovation rapide ? Que représente cette notion du bonheur pour vous ? Est-ce un mode de vie ? Une étincelle dans vos yeux ? Vieillir jeune ? Cette composante active, à l’autodétermination, est-elle la même pour tout le monde ? Rayonne-t-elle de la même façon à travers chacun d’entre nous ? Comment pouvons-nous nous adapter et trouver le bonheur dans un environnement où les valeurs et les normes sont en constante transformation ?

« Le bonheur est, au sens courant, un état émotionnel agréable, équilibré et durable dans lequel se trouve quelqu'un qui estime être parvenu à la satisfaction des aspirations et désirs qu'il juge importants. »

En réfléchissant à ces questions, nous pourrions également aborder les différentes théories du bonheur en psychologie, telles que la théorie du bien-être de Seligman ou la théorie des besoins de Maslow. Cette définition du bonheur met l’accent sur un élément primordial, un parallèle avec la satisfaction cognitive et la réaction émotionnelle. Celle-ci trouve toute sa puissance par la perception de chacun sur son quotidien, estimant être parvenu à atteindre ses objectifs ou tout simplement par des valeurs qu’il juge importantes.

La recherche du bonheur peut-elle être influencée par les médias sociaux et la comparaison constante avec les autres ? Sommes-nous en perpétuel jugement les uns des autres sur nos aspirations et nos échelles de valeurs ? Comment trouver un équilibre face à ses distractions constantes des réflexions des autres sur le choix du chemin que nous allons prendre ?

En explorant ces idées, nous pourrions également envisager des pratiques et des stratégies concrètes pour cultiver le bonheur dans notre vie quotidienne. Cela pourrait inclure des exercices de pleine conscience, des pratiques de gratitude, l'établissement d'objectifs personnels significatifs, et la recherche d'un équilibre entre le travail et la vie personnelle.

À la lumière de cette réflexion, il m’apparait donc nécessaire de parler de « Projet de vie ». En explorant ces idées, nous pourrions envisager des pratiques et des stratégies concrètes pour cultiver le bonheur dans notre vie quotidienne, et ce de façon durable. Cette disposition, à faire des choix et offrir des parcours adaptés aux aspirations et désirs de chaque individu. Non pas dans un processus préétabli d’ascension sociale, mais bien en terme individuel. Sous un point de vue de participation citoyenne, c’est ici que se trouve l’élément clé de la synergie de nos communautés. On explore les différentes dimensions du bonheur et les défis de trouver le contentement et le sens de la vie dans un monde en évolution rapide.

Le terme « Projet de vie » peut avoir une résonance bien différente d’une personne à l’autre. Pour certain, il implique l’emploi à temps plein, pour d’autre c’est l’obtention d’un diplôme de 3e cycle, tandis que pour plusieurs, c’est l’expérience sociale, la contribution à une tâche spécifique, la vie familiale, le réseau social, et j’en passe. Face à une société en pleine démographie inversée, il m’apparait nécessaire d’explorer chaque opportunité de s’actualiser en tant qu’humain. De voir au-delà de ce que l’on connaît et de s’ouvrir à des parcours atypiques, colorés et humains.