Société
Un coquelicot pour se souvenir et honorer les vétérans
Si pour certains, novembre est synonyme de changement d’heure et de noirceur, pour d’autre, il rime avec souvenir et honneur. Le 11 novembre prochain, plusieurs auront une pensée pour leurs ancêtres qui se sont sacrifiés pour leur liberté.
Ce clin d’œil aux vétérans peut se faire de bien des manières. La plus populaire est le port du coquelicot, à la boutonnière gauche ou aussi près du cœur que possible. On peut se procurer cet emblème dès maintenant à l’Hôtel de ville de Salaberry-de-Valleyfield.
« La Ville invite tous ses citoyens à s’en procurer un et à le porter fièrement du dernier vendredi d’octobre jusqu’au jour du Souvenir, le 11 novembre. Les fonds provenant de la vente de ce symbole permettent d’offrir un soutien, une aide financière directe aux anciens combattants, anciens militaires et aux personnes à charge dans le besoin », précise-t-elle sur son site Internet.
L’argent recueilli pendant cette campagne de financement rend aussi possible plusieurs services. Parmi eux, notons l’achat d’appareils médicaux, la recherche, les soins à domicile et les établissements de soins.
Une tradition datant de 1921
Pour plusieurs, le coquelicot représente la promesse de ne jamais oublier ceux qui sont morts à la guerre et dans des opérations militaires. Bref, tous ceux qui se sont sacrifiés pour la liberté de nos pays et de ceux qui y résident.
Depuis plusieurs décennies, soit 1921 plus exactement, le coquelicot évoque le souvenir et honore les vétérans. Il constitue aussi l’un des programmes les plus importants de la Légion royale canadienne.
Au quotidien, la Légion royale Canadienne compte de nombreuses branches au pays. Sa mission est de changer le cours des choses en contribuant au bien-être des vétérans et leur famille. Comment? En leur fournissant des services essentiels et en perpétuant la mémoire de ces hommes et femmes qui ont sacrifié leur vie pour leur pays.
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