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Investissement locatif : 3 astuces pour réduire son impôt
Investir dans l’immobilier locatif est une bonne façon de faire fructifier votre argent. En effet, en achetant un bien que vous mettez en location, vous augmentez votre patrimoine, tout en bénéficiant d’une source de revenus potentiellement élevée et régulière. En complément, il est aussi possible de réduire le montant de vos impôts grâce à l’investissement locatif. De quelle façon ? Voici 3 astuces à appliquer :
1)Optimisez votre revenu net
En pratique, vous devez déclarer tous les revenus issus de votre immobilier locatif. Il faut aussi soustraire les dépenses engagées pour générer ce revenu. Afin de minimiser votre impôt, vous devez donc optimiser votre revenu net entre le 1er janvier et le 31 décembre. Comment ? En effectuant des dépenses pertinentes durant l’année, pour les déduire de vos revenus locatifs.
Si vous voulez calculer votre revenu net de location, téléchargez le formulaire TP-128 (Québec) ou T-776 (Canada).
2)Déduisez les bonnes dépenses
Par ailleurs, sachez qu’il existe deux types de dépenses lorsque vous investissez dans l’immobilier locatif :
- Les dépenses courantes. Elles comprennent les frais d’électricité, d’agence immobilière, d’assurance, de publicité, de chauffage ou encore d’entretien et de réparations. Ce sont ces dépenses que vous pouvez déduire de vos revenus locatifs. Pour augmenter leur montant tout en facilitant la gestion locative, il est par exemple possible de mettre son immeuble en gestion immobilière à Laval.
- Les dépenses en capital. Elles sont additionnées au coût d’acquisition du bien et vous donnent droit à une déduction pour amortissement (DPA). Concrètement, une dépense en capital vise à augmenter la valeur du bien (rénovations et autres améliorations).
Attention cependant, l’agence Revenu Québec et l’Agence du revenu du Canada n’ont pas exactement les mêmes critères pour distinguer dépense courante et en capital.
3)Déduisez les frais comptables et juridiques
L’immobilier locatif implique également des dépenses comptables et juridiques. Ici encore, elles font l’objet de déductions d’impôt.
Il convient toutefois de distinguer les frais engagés pour l’achat du bien (frais de notaire, droits de mutation, frais juridiques, etc.) des autres dépenses courantes. Par exemple, vous pouvez déduire les frais de tenue du livre comptable, de préparation des états financiers, de conseils pour votre déclaration de revenus ou encore les frais juridiques pour établir un bail ou recouvrer un loyer impayé.
Conclusion
Grâce aux déductions fiscales, vous pourrez facilement réduire l’impôt lié à votre investissement locatif.
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