C'est à la suite de plusieurs années d'implication au sein du regroupement citoyen Sauvons les milieux humides St-Zotique que Dominique Boily a décidé de présenter sa candidature dans le district 1. Au fil des derniers mois, le candidat a assisté à de nombreuses séances du conseil afin de connaître et participer au développement municipal. Des séances qui l'ont laissé perplexe. 

Au sein du regroupement citoyen, M. Boily a pris part à un bon nombre d'activités bénévoles comme le nettoyage des berges du lac St-François ou le ramassage de déchets le long de la route 338.

Avec l'aide de ce regroupement citoyen, il a présenté il y a quelques années, une pétition de plus de 2 500 signatures afin de s'opposer à la construction d'immeubles en hauteur. Le document a, à l'époque, été rejeté par les élus. 

"À la suite de toutes mes années d’implication .j'ai décidé ,avec les encouragements de plusieurs citoyens de présenter ma candidature à titre de conseiller district #1. Des décisions importantes se pointent à l'horizon. Les changements climatiques, la préservation des milieux naturels, les problèmes de vitesse, la fluidité des véhicules et des personnes. L'accès aux voix rapides et le développement immobilier représentent des défis majeurs et cruciaux pour la municipalité", cite-t-il. 

Avec plus de 20 ans d'expérience en tant que technicien mécanique du bâtiment au sein d’une entreprise Québécoise bien connue, il estime être la personne la plus qualifiée pour représenter la population de l'est de Saint-Zotique. Au sein de son mandat professionnel, il est appelé à poser des diagnostics et trouver des solutions.

"J'aime la nature et les gens. Je suis déterminé et intègre et la seule promesse que je peux faire c'est de faire de mon mieux, de mettre tout mon coeur et de donner mon 100%,. Le temps est venu d'innover, d'avoir une nouvelle vision pour st-zotique. Heureusement un vent de changement souffle sur la municipalité.un vent nouveau. J'espère que vous m'accorderez votre confiance et au plaisir de vous représenter", conclut-il.