Un mois après la rentrée scolaire
Près de 20 enseignants sont toujours manquants au CSSTL
Près d'un mois après la rentrée scolaire, le Centre de services scolaire des Trois-Lacs (CSSTL) est toujours à la recherche de quelque 17 enseignants, principalement au niveau secondaire.
Selon le plus récent rapport publié le 18 septembre, par le ministère de l'Éducation, il manquerait un enseignant à temps plein, neuf à temps partiel à 100 % et sept à temps partiel, mais à moins de 100 %.
« Ces données sont exactes, mais il importe de préciser que la situation évolue quotidiennement », confirme Alexandra Desrochers, responsable des communications au CSSTL.
« Toutes nos écoles secondaires sont touchées par cette situation. Les postes à combler sont surtout dans les classes d’adaptation scolaire, de mathématiques et de science », ajoute-t-elle.
Pour contrer la situation, Mme Desrochers explique que plusieurs arrangements sont possible, sans toutefois confirmer si l'un d'entre eux a été mis en place.
« Plusieurs arrangements sont possibles. Des enseignants actuellement en poste peuvent prendre temporairement des tâches supplémentaires. Un retraité peut effectuer temporairement le remplacement. La tâche peut même être divisée entre deux suppléants qui ne sont pas disponibles à temps plein, mais qui ont une expertise en lien avec la matière enseignée. Pendant ce temps, nous continuons de chercher une personne pour pourvoir le contrat », affirme la responsable des communications.
Du recrutement en continu
Selon Alexandra Desrochers, le CSSTL serait toujours en mode recrutement. « Nos activités de recrutement sont nombreuses afin d’encourager les candidats et les candidates à postuler sur les opportunités d’emplois affichées sur notre site Web. Par exemple, nous affichons nos emplois sur diverses plateformes, et ce, tant au niveau local que national ».
En consultant la section Carrières, du site Web du CSSTL, nous sommes à même de constater que de nombreux postes sont affichés depuis plusieurs mois et que des nouveaux s'ajoutent régulièrement.
« Nous mettons tout en œuvre afin que nos élèves ressentent le moins possible les impacts de la pénurie de main-d’œuvre », conclut-elle.
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