Politique provinciale
Marilyne Picard est nommée adjointe parlementaire à la ministre de la Famille
La députée de Soulanges, Marilyne Picard, a été nommée adjointe parlementaire à la ministre de la Famille, Kateri Champagne Jourdain. L’annonce a été faite cette semaine par l’élue caquiste, qui se dit honorée et reconnaissante de cette nouvelle responsabilité.
« Imaginez ma joie et ma gratitude au moment où l’on m’a confié aujourd’hui le rôle d’adjointe parlementaire de la ministre de la Famille. Cette nomination s’inscrit dans la continuité naturelle de mon engagement : prendre soin des enfants les plus vulnérables, accompagner les familles qui traversent des épreuves immenses et défendre la dignité de chaque parent », a-t-elle déclaré.
Un engagement de longue date auprès des familles
Avant son entrée en politique, Mme Picard s’est fait connaître par son implication auprès des familles d’enfants malades, notamment à travers l’initiative Parents Jusqu’au Bout en 2015-2016. Cette mobilisation avait mené à la création du Supplément pour enfant handicapé nécessitant des soins exceptionnels (SEHNSE), qui accorde un soutien financier mensuel supplémentaire de plus de 1 000 $ aux familles concernées.
En 2018, un deuxième palier du programme a été instauré, offrant près de 800 $ par mois aux familles d’enfants vivant avec des défis moteurs et intellectuels importants. Plus récemment, en 2025, l’élue de Soulanges a obtenu l’appui du premier ministre François Legault pour prolonger de 12 mois l’Allocation famille destinée aux parents confrontés au décès d’un enfant.
Reconnaissance et continuité
Mme Picard a tenu à remercier la ministre Champagne Jourdain pour sa confiance, ainsi que le premier ministre François Legault pour son soutien. Elle a également souligné l’appui de la ministre Sonia Bélanger lors de son précédent mandat, ainsi que la collaboration des parents et organismes œuvrant auprès des proches aidants.
« Je m’engage à accomplir cette mission avec la plus grande rigueur, guidée par une conviction profonde : toutes nos décisions doivent avoir en tête le visage d’un enfant et l’intérêt supérieur de la famille », a-t-elle ajouté.