De 9h à 16h, les 207 finissants étaient attendus sur place avec leurs proches
L'école secondaire Soulanges a salué les efforts de ses finissants aujourd'hui
Tout au long de la journée, en ce vendredi 19 juin, les finissants de l’école secondaire Soulanges, à Saint-Polycarpe, étaient attendus sur place. À chaque tranche de 15 minutes, les élèves de 5e secondaire arpentaient les corridors de leur école secondaire pour une dernière fois avant d’entrer au Cégep.
« En groupe de dix élèves, ils étaient invités à se présenter avec quelques proches pour une activité visant à souligner la fin de leurs études au secondaire. Nous avons créé un parcours dans l’école où chacun des 207 finissants était salué et félicité par leurs enseignants. À travers du trajet, ils ont récupéré des vidéos souvenirs, leur album de finissant, un mortier et un arc-en-ciel décoré. Le parcours n’était pas statique pour éviter les rassemblements inutiles à un seul endroit », raconte Jean-Sébastien Roy, directeur adjoint des 4e et 5e secondaire au sein de l’établissement scolaire.
Travail d’équipe pour organiser l’activité
Pour lui et ses collègues, pas question de laisser les finissants quitter sans les saluer une dernière fois. L’école avait été décorée pour célébrer ce moment important dans la vie des finissants. « Cette journée a été rendue possible grâce à l’implication de quatre membres du personnel, soit trois enseignantes, Marjolaine Brault, Émilie Deneault et Rachel Lafrenière, de la technicienne en loisirs, Christine Payment et d’un technicien en audiovisuel, Jean Léger. Ils ont contribué à l’organisation de la journée, mais aussi à coordonner diverses publications sur les réseaux sociaux au cours des derniers jours », ajoute-t-il.
Même si plusieurs prévoient une 2e vague cet automne, M. Roy précise qu’une date a été choisie pour la tenue du bal des finissants. « C’était important pour nous de le faire même si c’est possible que ça n’ait pas lieu. Ce sera le 9 octobre au Château Vaudreuil. On espère pouvoir se réunir tous ensemble pour célébrer. Si on ne peut pas, les élèves ont pu prendre une photo souvenir dans l’école aujourd’hui, ça leur fera au moins un souvenir en cas d’annulation », conclut M. Roy.
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