Des employés de l'Institut Philippe-Pinel votent en faveur de moyens de pression

MONTRÉAL — Des employés de l'Institut national de psychiatrie légale Philippe-Pinel ont voté en faveur de moyens de pression pouvant aller jusqu'à la grève générale illimitée.

C'est ce qu'a fait savoir le Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) qui représente le personnel professionnel de l'institut.

Le syndicat qualifie les offres salariales de l'employeur de «ridicules et insultantes», dans un communiqué publié samedi matin.

Le SPGQ ne fait pas partie du front commun qui représente 420 000 travailleurs du secteur public dans les négociations pour le renouvellement des conventions collectives dans les domaines de la santé et des services sociaux et de l’éducation. 

Le front commun implique les membres de la CSN, de la CSQ, de l’APTS et de la FTQ. Ces derniers ont exercé une première journée de grève le 6 novembre.

La Presse Canadienne